Manuel Periáñez_____________________________________manuelperianez1940@gmail.com
 








Ma vie en quelques lignes :


 

Pourquoi une « page personnelle » sur Internet? Mon but était, en 1995 déjà, de publier un certain nombre de textes que l'on me demande de temps à autre, sans plus avoir à les photocopier... (des articles et recherches parfois vieux de plus de vingt ans, devenus introuvables sauf dans de rares bibliothèques spécialisées). Autre but, donner les éléments d'un parcours personnel souvent jugé « atypique » pour un chercheur et psychanalyste, même en France. Comment, dès lors, se présenter sur Internet tout en essayant d'éviter les flamboyantes complaisances narcissiques de nombreux sites personnels (dont certains sont fort sympathiques au demeurant) ?  Évidemment en rédigeant un très court résumé de ma vie, mais doté d'un maximum de mots-clé cliquables (ici, en bleu) vers d'autres sites du Web, qui informeront davantage ceux qui voudraient en savoir plus sur certains aspects de mon parcours. Voici ce que donne, dans mon cas, une telle « webbiographie » : 

Je suis né en 1940 dans une famille de républicains espagnols en exil à la République Dominicaine. J'ai vécu mon enfance au Venezuela (Caracas), en FrancePrades, Pyr. Orientales, où je jouais aux billes dans le jardin de Pablo Casals) ;  puis à Nogent s/ Marne, en Belgique (Bruxelles), et en Hollande (La Haye) où j'arrivai en 1953. Je voulais être ingénieur aéronautique, puis ayant découvert Le Corbusier je me destinai à l'architecture.  Mais après quelques années d'études à Milan et Delft j'ai finalement préféré la sociologie urbaine, à Paris (Sorbonne), 1965-1969, et la psychanalyse (installé en libéral en 1975).  Un jour vers mes seize ans, Le Corbusier m'ayant répondu à une demande d'orientation : « toutes les écoles sont mauvaises, quittez vos pantoufles bourgeoises et vivez ! », je n'ai par la suite trouvé aucune école d'architecture, de psychanalyse, ni d'ailleurs de pensée vraiment convaincante, et ce n'est pas faute d'en avoir essayé... Mais de rester finalement hors des Institutions m'a sans doute valu l'amitié personnelle de Georges Devereux, qui s'amusa à guider ma formation d'analyste. Je me sens très proche également des idées d'un Cornelius Castoriadis (ce qui n'était pas du tout le cas de Devereux !). Au contact de ces grands esprits, je suis devenu, au final, un chercheur français en sciences humaines, et le meilleur psychanalyste de ma rue (contrairement à beaucoup de mes collègues, qui se croient les meilleurs au monde). Malgré les galères, je suis plutôt content : de temps en temps, c'est passionnant. Après un demi siècle, mes pôles d'intérêt principaux restent les avions, l'architecture, les révolutions de toute sorte,  y compris celles des formes du corps humain lors de l'hominisation, et l'anthropologie psychanalytique en général.

A part cela, et comme pour tout le monde, ma vie vraiment privée ne regarde que quelques rares personnes, je ne vais sûrement pas l'étaler ici ni sur ma page Facebook et autres réseaux sociaux ! Et  je vous remercie de votre aimable visite. Ainsi que de vos commentaires et réactions éventuels au sujet de ce site, et auxquels je réponds toujours. Mais ne vous y sentez pas obligés...


Et plus... La version de 1997 de cette « webbiographie » suscita beaucoup de réactions, dont une interview émanant d'architectes désireux d'aller plus loin en me posant dix questions : cliquez ici pour aller plus loin...


 
 

 

 

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Ma vie en quelques lignes (2014) : Pourquoi une « page personnelle » sur Internet? Mon but était, en 1995 déjà, de publier un certain nombre de textes que l'on me demande de temps à autre, sans plus avoir à les photocopier... (des articles et recherches parfois vieux de plus de vingt ans, devenus introuvables sauf dans de rares bibliothèques spécialisées). Autre but, donner les éléments d'un parcours personnel souvent jugé « atypique » pour un chercheur et psychanalyste, même en France. Comment, dès lors, se présenter sur Internet tout en essayant d'éviter les flamboyantes complaisances narcissiques de nombreux sites personnels (dont certains sont fort sympathiques au demeurant) ? Évidemment en rédigeant un très court résumé de ma vie, mais doté d'un maximum de mots-clé cliquables (ici, en bleu) vers d'autres sites du Web, qui informeront davantage ceux qui voudraient en savoir plus sur certains aspects de mon parcours. Voici ce que donne, dans mon cas, une telle « webbiographie » : Je suis né en 1940 dans une famille de républicains espagnols en exil à la République Dominicaine. J'ai vécu mon enfance au Vénézuéla (Caracas), en France (à Prades, Pyr. Orientales, où je jouais aux billes dans le jardin de Pablo Casals) ; puis à Nogent s/ Marne, en Belgique (Bruxelles), et en Hollande (La Haye) où j'arrivai en 1953. Je voulais être ingénieur aéronautique, puis ayant découvert Le Corbusier je me destinai à l'architecture. Mais après quelques années d'études à Milan et Delft j'ai finalement préféré la sociologie urbaine, à Paris (Sorbonne), 1965-1969, et la psychanalyse (installé en libéral en 1975). Un jour vers mes seize ans, Le Corbusier m'ayant répondu à une demande d'orientation : « toutes les écoles sont mauvaises, quittez vos pantoufles bourgeoises et vivez ! », je n'ai par la suite trouvé aucune école d'architecture, de psychanalyse, ni d'ailleurs de pensée vraiment convaincante, et ce n'est pas faute d'en avoir essayé... Mais de rester finalement hors des Institutions m'a sans doute valu l'amitié personnelle de Georges Devereux, qui s'amusa à guider ma formation d'analyste. Je me sens très proche également des idées d'un Cornelius Castoriadis (ce qui n'était pas du tout le cas de Devereux !). Au contact de ces grands esprits, je suis devenu, au final, un chercheur français en sciences humaines, et le meilleur psychanalyste de ma rue (contrairement à beaucoup de mes collègues, qui se croient les meilleurs au monde). Malgré les galères, je suis plutôt content : de temps en temps, c'est passionnant. Après un demi siècle, mes pôles d'intérêt principaux restent les avions, l'architecture, les révolutions de toute sorte, y compris celles des formes du corps humain lors de l'hominisation, et l'anthropologie psychanalytique en général. A part cela, et comme pour tout le monde, ma vie vraiment privée ne regarde que quelques rares personnes, je ne vais sûrement pas l'étaler ici ni sur ma page Facebook et autres réseaux sociaux ! Et je vous remercie de votre aimable visite. Ainsi que de vos commentaires et réactions éventuels au sujet de ce site, et auxquels je réponds toujours. Mais ne vous y sentez pas obligés... Et plus... La version de 1997 de cette « webbiographie » suscita beaucoup de réactions, dont une interview émanant d'architectes désireux d'aller plus loin en me posant dix questions : cliquez ici pour aller plus loin...